Et finalement rien. Une année au bout du monde, à bout de tout. Deux, auparavant, et qui sommes-nous? Ni le leitmotiv de nos mièvres baisers, ni les vers candides qui insurgent nos oreilles. Rien. De l'acide, pour nettoyer l'insipide de nos entrailles. Et que ta volonté soit faite. Vivons peu mais fort. Les mains glissent, les corps se séparent, pour de bon ou pour l'instant. Les au revoirs sont pénibles, autant les éviter.
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1 commentaire:
Les échéances sont terriblement tragiques. On peut les repousser mais c'est finalement retarder pour mieux sauter.
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